Monter sur les planches… que du bonheur et une vraie… thérapie !

 » Qui, n’a un jour, rêvé faire du théâtre, du cinéma, monter sur les planches, appartenir à ce monde magique du spectacle, songé un instant, à des cachets faramineux, aux honneurs réservés aux grands artistes, accorder des autographes ? Mais le souhait et la volonté ne suffisent pas. Il faut avoir « la fibre » ! La réalité est impitoyable et très sélective. Ne pas se réjouir, trop vite, d’un succès souvent aléatoire et imiter Charles Aznavour quand il chante « Je me voyais déjà en haut de l’affiche »… et aller au devant d’une cuisante déception. Plutôt écouter la regrettée Mireille, et son Petit Conservatoire, découvreurs de nouveaux talents, dont l’appréciation, le jugement, souvent sans appel, mettaient un frein définitif aux ambitions les plus folles. (…) «